Archives du mot-clé Ubuntu

Quelques mots sur Ubuntu Netbook Edition

Je me suis récemment acheté un Netbook, l’ASUS EEEPC 1005PE-BLK001M pour être précis, que je vous recommande chaudement (et non je ne touche pas un centime de Darty pour la pub). Ses points forts: une autonomie exceptionnelle, un gros disque dur, 2GO de RAM, une prise éthernet, un écran 16/10, un clavier confortable pour sa taille et du wifi compatible avec la nouvelle norme (n).

J’ai aussitôt installé Ubuntu Netbook Edition en dual-boot avec Windows Seven. Ça m’a causé quelques petits soucis, au niveau de la luminosité de l’écran, j’explique dans la documentation comment s’en tirer (ce n’est pas très difficile et propre à ce modèle de netbook, à ce qu’il semblerait).

Toujours est-il que si vous souhaitez tenter l’aventure, il y a deux solutions:

  • La première, que je vous recommande, c’est d’aller à une install party où des bénévoles vous guideront et vous assisteront. Par exemple pour les gens de région parisienne, il y en a une tous les premiers samedi du mois à la cité des sciences. Pour les autres il y a surement un quelqu’un qui peut vous aider près de chez vous, cf à ce sujet les sites de parrainage comme parrain-linux.com ou encore parrains.linux.free.fr.
  • Autre possibilité, si vous savez parler anglais ne serait-ce qu’un minimum, le site officiel vous expliquera tout. Pour les anglophobes absolus, tournez vous vers la traduction automatique de google. Malheureusement elle ne va pas jusqu’à traduire le contenu des « show me how ».

Voila, en espérant que ces infos en aideront quelques uns 😉

Si internet est lent sous Ubuntu Karmic Koala (9.10)

Si jamais un jour, vous testez Ubuntu Karmic Koala, et que vous trouvez qu’internet est plus lent, voila un problème qui est facile à régler: cliquez droit sur l’icone réseau en haut dans la barre de menu, et la première des deux images ci-dessus s’affiche. Cliquez sur votre connexion internet (dans mon cas c’est filaire : eth0), puis sur modifier. Dans l’onglet paramètres IPV6, il peut être utile de mettre aucun (c’est discutable, vérifiez si ça change quelque chose, sinon, laissez en l’état), et dans l’onglet paramètres IPV4, remplissez comme dans l’image. Cliquez sur Appliquer et le tour est joué.

Quelques détails tout de même sur la signification de ces manipulations: Il semblerait qu’il y ait un bug sous karmic qui fasse que celui-ci gère mal l’IPV6. D’où l’idée de le désactiver, ce qui ne pose pas trop de problème, l’IPV4 ayant encore plusieurs années d’avenir en Europe. Quant à ce que nous faisons pour IPV4, ça part de l’idée qu’à priori les serveurs DNS de votre fournisseur d’accès internet sont long à la détente sous Karmic, et nous les remplaçons donc par ceux d’OpenDNS qui sont plus réactifs.

Notez que toute manipulation des DNS n’est pas neutre, en effet comme le DNS effectue la traduction de l’adresse que vous demandez en terme de réseau, un DNS peu digne de confiance pourrait effectuer de mauvaises traductions, vous envoyant ailleurs qu’à l’endroit souhaité, et par exemple sur des sites peu recommandables ou qui imitent le design du site de votre banque, etc. Ceci dit à priori les DNS d’OpenDNS sont tout ce qu’il y a de plus fiable. Une légère réserve cependant, ce n’est un secret pour personne qu’ils font des statistiques sur les requêtes reçues par leurs serveurs et qu’ils les revendent, donc paranoïaques et statistiquophobes, abstenez vous. A noter que depuis peu, Google propose aussi ses propres serveurs de DNS, ça peut aussi être une piste si vous n’êtes pas satisfaits des autres.

Ajouter les extensions multimédia propriétaires à ubuntu et gérer le problème du package ttf-mscorefont-installer

Bon alors aujourd’hui, j’ai fait une petite réinstallation de la dernière version d’Ubuntu (Karmic Koala) sur l’une de mes partitions. Comme d’habitude, l’une des première choses à faire a été de réactiver les pilotes propriétaires, et d’installer les codecs, greffons et autres plugins multimédias manquant pour des raisons de copyright dans une installation normale. C’est désormais très simple, car une application permet de tout faire d’un coup (sauf pour les pilotes qui ont leur application dédiée tout aussi trouvable). Pour les plugins multimedia, il suffit d’aller dans Applications, Logithèque Ubuntu (l’ancien « Ajouter/Supprimer »), et de rechercher « codec » dans le champs de recherche. Un logiciel nommé « Suppléments restreints Ubuntu » apparait alors. Cliquez dessus et installez-le.

Si vous n’avez pas de chance (ce qui est mon cas), le processus va prendre super longtemps, et un message d’erreur va vous informer que l’installation a partiellement échoué à cause du paquet ttf-mscorefont-installer. C’est un problème à régler immédiatement car sinon ça va vous pourir la vie à chaque nouvelle installation de programme. En cherchant par ci par là sur le net, on trouve tout un tas de résolutions plus ou moins bien fichues (certaines se bornent à donner l’impression à l’ordi que l’installation est faite alors que c’est faux, mais c’est pas grave, ça ne se verra pas avant d’avoir besoin des polices microsoft dans une application). En voici une qui fait les choses correctement:

Il suffit de télécharger le paquet msttcorefonts-offline chez imaginux, suivant en cela la documentation d’ubuntu en utilisant l’installation hors ligne. Ensuite vous l’installez manuellement. Ceci fait, tout devrait rentrer dans l’ordre:  à la prochaine fois que vous installerez quelque chose ou que vous ferez une MAJ système, vous aurez un sympathique message qui apparaitra à la fin incluant notamment « All fonts downloaded and installed ». Et voila, fin du problème, vos polices sont installées, de même que vos extension multimédia et votre installation est propre :).

[Avancé]Si sur votre live_cd de linux, les caractères sont énormes…

enorme

Ça nous arrive tous un jour où l’autre: On teste une nouvelle distribution linux, la carte graphique et l’écran sont mal reconnus, et on se retrouve avec une taille de police démentielle qui rend toute manipulation impossible à cause de la taille des menus. En plus si on est sur un live cd, toute manipulation conduisant au redémarrage est à proscrire, puisqu’on perdrait ce qu’on a fait.

Alors voici comment faire:

  1. Passer en terminal virtuel (combinaison de touche ctrl + alt + F1)
  2. éditer le fichier /etc/X11/xorg.conf avec les droits d’administration
    pour ce faire personnellement j’utilise nano, ce qui nous donne ‘nano /etc/X11/xorg.conf‘, éventuellement à faire précéder d’un sudo si vous êtes sur Ubuntu, ou bien à faire un su avant, je vous laisse agir selon votre distribution.
  3. Repérer la section dédiée à la carte graphique. Dedans il y a une ligne dans le style Driver  « quelque chose ». Et manifestement le quelque chose n’est pas bon, donc il faut le remplacer par quelque chose qui va avec votre config, les plus courants étant {ati, nv, vesa, nvidia}. Mais attention, certains correspondent à des pilotes propriétaires, s’ils ne sont pas inclus par défaut sur le live_cd (ce qui est rarement le cas), ça ne marchera pas. Par exemple moi j’ai une Geforce, et hier j’ai voulu tester Sidux. Le driver paramétré dans le xorg.conf était nv, je l’ai remplacé par vesa, qui est un driver générique, sachant que sur ma distribution habituelle j’utilise le driver nvidia qui est propriétaire
  4. Utilisez la combinaison de touches crtl + alt + backspace pour redémarrer le serveur X. Si le serveur redémarre, mais que vous avez toujours le problème, ou que c’est pire refaits la manip pour essayer un autre pilote. Si il ne se passe rien après avoir fait crtl + alt + backspace, revenez en section graphique (ctrl + alt +F7) et réessayez. S’il ne se passe toujours, rien, pas de chance, cette combinaison a été désactivée pour votre distribution.

Deux possibilités maintenant:

  • Vous vous apprêtez à plusieurs essais, ou bien vous souhaitez réactiver la combinaison dans l’un des cas contraire, passez à l’étape suivante.
    – Retournez dans le terminal virtuel, rééditez le fichier xorg.conf, et rajoutez à la fin la section que vous trouverez sur tuxplanet, mais ne redémarrez pas l’ordinateur après .
    – enregistrez le fichier
    Passez à l’étape suivante
  • Nous allons maintenant redémarrer X manuellement.
    ps -A | grep X
    – notez le numéro de PID de Xorg
    – faites un kill PID (éventuellement en root si ça ne marche pas). Notez que j’ai dit kill et pas kill -09, nous souhaitons ici une terminaison correcte du processus, pas un arrêt brutal. Ne rajoutez le -09 que si ça ne marche pas autrement.

Après ça le serveur X redémarre, et normalement ça marche mieux. Sinon vous avez tous les outils pour refaire des essais. Pensez aussi à jeter un coup d’oeuil à la documentation francophone d’Ubuntu (même si vous n’êtes pas sur cette distribution, ce qui concerne le Xorg et les cartes graphiques reste valable)

Si vous n’avez plus de son après une mise en veille sous Ubuntu…

musique

Bon je ne sais pas si parmi ceux qui me lisent et qui utilisent Ubuntu, il y en a d’autres qui ont déjà été confrontés à ce problème: On met l’ordinateur en veille ou en hibernation, et lorsqu’on le relance, il n’y a plus de son et on est obligés de redémarrer. Aujourd’hui en particulier, j’ai du m’absenter alors que j’avais 5 ou 6 programmes différents d’ouverts et aucune envie de devoir redémarrer et de tous les relancer à mon retour. Je me suis donc attelé au problème, et une fois de plus la magie de Google a fonctionné: Il suffisait en fait d’ouvrir un terminal et d’y taper la commande suivante:

sudo alsa force-reload

Reste plus qu’à trouver comment automatiser le truc à chaque retour de mise en veille, je vous tiens au courant ;). Ah oui, et la même combine marche aussi dans le cadre de l’hibernation :).

Si vous avez des problèmes avec flashplayer sous Ubuntu

flash

Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais depuis un mois ou deux, la version 10 de flash est disponible chez adobe (pour rappel, flash est une technologie qui permet de lire des vidéos et du contenu multimédia depuis son navigateur internet), et cerise sur le gâteau, il y a même un paquet deb de disponible pour les versions de Linux basées sur Debian comme Ubuntu. Comme de nombreux autres, dés que la nouvelle de sa sortie est tombée, j’ai téléchargé cette fameuse version 10, pour laquelle on nous promet des miracles comme notamment le suport de la 3D en utilisant la carte graphique, je ne sais pas si vous mesurez l’exploit.

Mais ne vous précipitez pas pour autant sur les serveurs d’adobe, car de toute manière très peu de sites ont commencé à exploiter ces nouvelles fonctionnalités, l’immense majorité continuant à utiliser flashplayer 9. Et le hic, c’est que certains ne sont pas encore compatibles avec flashplayer 10, ce qui fait qu’au final la mise à niveau prématurée vers flashplayer 10 amène plus de problèmes que de nouvautés intéressantes.

Par conséquent j’ai appliqué la procédure suivante qui a eu pour effet de désinstaller le plugin d’adobe pour le remplacer par la dernière version de la génération 9. Je ne pense pas qu’elle soit utile à beaucoup de lecteurs, mais je la donne quand même à tout hasard. Par contre je ne vais pas trop détailler sur ce coup là, demandez moi si ça vous parrait peu clair.

  • ouvrir le gestionnaire de paquet et activer les versions proposed et backport.
  • recharger la liste des paquets
  • cliquer sur rechercher et entrer « flashplugin-nonfree »
  • un paquet non installé encore devrait s’afficher. Sélectionnez le pour installation et installez le (remarquez que ça va avoir pour effet de désinstaller le plugin d’adobe).
  • n’oubliez pas de désactiver les dépots proposed et backport et de recharger à nouveau la liste des paquets.

C’est alors que vous allez peut être être confrontés au vieux problème de hardy avec flash, à savoir l’impossibilité d’avoir du son sur internet et depuis l’ordi en même temps. Pour régler ce petit problème, il suffit de regarder la documentation le concernant. Peronnellement j’ai juste cliqué sur le premier lien pour installer libflashplayer, et ça a réglé le problème. J’ai à nouveau la possibilité d’avoir du son sur internet et sur l’ordi en même temps, et je peux retourner sur les sites non compatibles avec la version 10 de flash d’adobe, comme par exemple alphabounce ;).

Bon j’ai concience que ce tuto là n’est pas tout à fait de niveau débutant, mais ne vous découragez pas, laissez des coms pour poser vos questions, c’est fait pour ça ;).

Le petit guide d’Ubuntu…

fiston

Je vous ai déjà présenté Ubuntu dans un précédent billet, et nous avons également déjà vu comment le tester sans rien modifier sur son ordinateur. Or je viens de découvrir cette semaine un excellent petit guide de 6 pages écrit par Aurélien Paulus qui présente Ubuntu de façon simple et synthétique.

Il a voulu répondre à la problématique suivante: Il y a énormément de documentation sur Ubuntu qui existe, mais les gens qui veulent juste savoir ce que c’est ou avoir une bonne vue d’ensemble rapidement peuvent vite se retrouver perdus dans la masse. Et c’est vrai qu’il y a beaucoup d’endroits où l’on peut voir des petits articles de présentation d’Ubuntu, mais par contre les sites qui présentent Ubuntu de façon plus développée tout en restant synthétiques et accessibles au débutant sont bien plus rare. C’est pourquoi je vous recommande chaudement ce petit guide. Six pages, ce n’est pas long à lire, et vous rentabiliserez largement le temps passé à cela par la richesse et l’accessibilité du contenu.

Le guide est en libre téléchargement sur le site d’Aurélien Paulus.

Tester Ubuntu sans rien modifier sur votre ordinateur.

Etape n°1 de la découverte d’Ubuntu: Je teste sans prendre de risques :).

  1. Rendez vous sur la page de téléchargement d’Ubuntu:
  2. Cliquez un peu plus bas sur « télécharger maintenant »
  3. Éventuellement vérifiez l’intégrité du fichier que vous venez de télécharger.
  4. Utilisez un graveur de CD pour graver l’image iso.
  5. Laisser le CD dans l’ordi
  6. Si le CD se lance sous Windows et affiche un menu, ignorez le pour l’instant, et fermez la fenêtre.

Note: Je détaille énormément la procédure dans mon article  pécédent: Graver une image iso. Donc si vous êtes perdu, n’hésitez pas à y jeter un oeuil ;).

7. rebooter le PC
8. Au démarrage appuyer sur F12 et choisir de booter sur le CD.


commentaire: Ceci va charger une session Ubuntu dans la mémoire RAM de l’ordinateur sans rien modifier sur le disque dur. Vous allez donc pouvoir essayer Ubuntu sans contrainte, vu que si ça ne vous plait pas, vous avez juste à rebooter le PC et à enlever le CD, et votre ordinateur sera comme avant.

Quelques petites indications tout de même:

  • le menu démarrez est en haut à gauche.
  • la poubelle est en bas à droite.
  • Pour arrêter l’ordinateur il faut cliquer en haut à droite.
  • Ne cliquez pas encore sur Installer sauf si vous êtes sûrs de vous, et que vous savez ce que vous faites.

Voila pour le test sans risque. L’étape suivante est libre et dépend de votre motivation. Si vous ne voulez pas partitionner votre disque dur, vous pouvez tenter l’installation comme si Ubuntu était un simple programme Windows avec Wubi. Sinon, selon votre degré de compétence ou de motivation(car ce n’est pas bien compliqué si on se donne un peu de mal pour comprendre), vous pourrez tester l’installation en mode automatique ou l’installation en mode manuel. J’en reparlerai peut être en détail dans un prochain article.

Graver une image iso

Bon alors dans la catégorie chose qui parait totalement évidente pour quiconque a un minimum de connaissances en informatique, voici comment graver une image iso. J’avoue je ne pensais pas faire un article la dessus, mais comme quelqu’un m’a demandé beaucoup de précisions dessus aujourd’hui, je vais tacher d’être aussi complet que possible. Prenons un cas pratique: imaginons par exemple que vous vouliez télécharger et graver le dernier CD d’Ubuntu.

  1. Tout d’abord rendez vous sur la page de téléchargement.
  2. Normalement vous n’avez rien à remplir, les sélections par défaut conviennent à la majeure partie des utilisateurs.
  3. Donc descendez vers le bas de la page, et cliquez sur télécharger maintenant.
  4. Une fenêtre s’ouvre pour vous demandez ce que vous souhaitez faire du fichier
  5. Choisissez « enregistrer le fichier » et mettez le quelque part dans votre ordinateur. Par défaut sous Windows, c’est souvent le bureau qui est choisi automatiquement.
  6. Etape facultative: Il arrive parfois que des morceaux de fichiers se perdent pendant le téléchargement. Certains sites proposent des clés MD5 pour vérifier l’intégrité des fichiers. En gros un algorithme mouline les octets du fichier et calcule une signature unique propre à ce fichier. Il vous suffit alors de comparer votre signature à celle qui est mise en ligne pour vérifier l’intégrité de vos données. Dans le cadre d’Ubuntu, c’est très bien expliqué sur cette page.

Bon donc normalement vous avez maintenant un fichier dont le nom se termine en .iso stocké quelque part dans l’ordinateur. Ne double cliquez pas dessus, ne cherchez pas à l’ouvrir avec un gestionnaire d’archive, ou autre, non laissez le en paix et ouvrez votre logiciel de gravure favori.

  1. Ne choisissez pas l’option « créer un cd de données », mais cherchez plutôt l’option « graver une image iso » ou encore « graver une image de disque » comme indiquez sur l’illustration en tête d’article. Attention dans certains logiciels, il faut fouiller un peu, par exemple l’option est souvent dans un sous menu de l’option « copier un disque ».
  2. Le logiciel vous demande où se trouve l’image à graver
  3. cliquez sur le bouton parcourir, et aller chercher votre fichier iso que vous aviez téléchargé, à l’endroit où vous l’aviez enregistrer.
  4. Si l’option « multissessions » est activé, désactivez là, et choisissez les options « copie en une fois » ou équivalent, et « cloturer le disque après la gravure ».
  5. attention:  il est possible qu’à la fin de la gravure, le logiciel de gravure éjecte le CD automatiquement… Et que pour voir comment est votre CD, vous le réinsériiez dans l’ordinateur. Dans ce cas, s’il s’agit du CD d’Ubuntu, quelque chose va se lancer automatiquement, car il est possible d’installer Ubuntu depuis Windows pour le tester sans toucher aux partitions. Je vous conseille de ne rien lancer dans l’immédiat, et de d’abord tester en live comme je l’expliquerai bientôt dans un autre article dédié à l’installation dUbuntu.

Ubuntu, une alternative grand public pour les déçus de Windows

J’avais déjà commencé à l’introduire dans mon précédent article sur Linux, Ubuntu est donc un dérivé de Linux tourné vers le grand public, et pensé pour les utilisateurs qui viennent du monde de windows et veulent découvrir Linux. Il fut un temps  où Linux était réservé aux professionnels. L’installation relevait du parcours du combattant, et six mois d’investissement au moins étaient nécessaires à une bonne prise en main du système. Avec Ubuntu qui existe depuis maintenant 4 ans, ce temps est révolu.

Tout d’abord Ubuntu (et de nombreuses autres distributions maintenant) est disponible sur liveCD. Le principe est simple: au démarrage l’ordinateur va charger Ubuntu depuis le CD dans sa mémoire RAM sans rien modifier du disque dur. Il est donc possible de tester sans installer. Au redémarrage, on enlève le CD, et le PC redémarre comme s’il ne s’était rien passé.

Ensuite, Ubuntu dispose d’un mode d’installation graphique tout à fait intuitif. Sur un ordinateur de base resté dans sa configuration d’usine, quasiment tout est automatique.

Enfin de nombreuses interfaces graphiques viennent simplifier la vie de l’utilisateur. Pour plus d’information sur les avantages et inconvénients d’Ubuntu, consulter cette page de la documentation francophone d’Ubuntu.

Et pour conclure quelques liens utiles:

Voila pour l’introduction à Ubuntu. Dans de prochains articles, je donnerai sans doute des procédures d’installation détaillées, cependant il y a déjà de nombreux sites plutôt fouillés sur la manière de faire. Regardez dans la documentation, c’est pas de la documentation Windows qui sert à rien, non c’est une documentation écrite par des bénévoles, et c’est tès bien fait, une vraie mine d’or!